On parle de nous

Ardah est une petite association… qui fait parfois parler d’elle. Retrouvez ici les parutions qui nous ont relayés, qui nous ont aidés à faire de nos événements des succès, qui nous permettent de continuer.

Armina : toujours l’impasse
27 Oct

Armina : toujours l’impasse

Malgré de nombreux efforts conjugués, la situation d'Armina n'est toujours pas réglée. Lisez l'article publié par les Dernières Nouvelles d'Alsace. Cliquez ici pour accéder à l'article

Remise des prix du concours d’écriture
24 Oct

Remise des prix du concours d’écriture

Les lauréats du concours ont été récompensés lors du café-rencontre mensuel d'octobre. Les DNA y étaient. https://c.dna.fr/culture-loisirs/2023/10/15/la-plage-de-sangatte-sujet-d-un-concours-d-ecriture#PlugCommentsList2

JMR 2024 – “SORTIR DES CASES, bande dessinée et migrations”
03 Juil

JMR 2024 – “SORTIR DES CASES, bande dessinée et migrations”

Retrouvez l'article paru dans les DNA du mercredi 28 juin ici  

JMR… ON EN PARLE – JMR… ELLE FAIT PARLER D’ARDAH
31 Mai

JMR… ON EN PARLE – JMR… ELLE FAIT PARLER D’ARDAH

QU’EST-CE QUE LA JOURNEE MONDIALE DU REFUGIE ET QUAND EST-ELLE CELEBREE ? La Journée mondiale du réfugié (JMR) est une journée internationale qui a été établie par les Nations Unies afin de rendre hommage aux réfugiés à travers le monde entier. Elle était initialement connue sous le nom de Journée africaine des réfugiés, avant que l’Assemblée générale des Nations Unies ne la déclare officiellement journée internationale en décembre 2000. Elle a été célébrée pour la première fois au niveau mondial le 20 juin 2001, pour commémorer le 50e anniversaire de la Convention de 1951 relative au statut des réfugiés. Depuis,

J’étais si tranquille… ils sont venus de partout. – Suzanne de Dietrich
25 Avr

J’étais si tranquille… ils sont venus de partout. – Suzanne de Dietrich

Seigneur, pourquoi m’as-tu dit d’aimer tous mes frères les Hommes ? J’ai essayé, mais vers toi je reviens effrayée ! J’étais si tranquille chez moi. J’étais organisée, je m’étais installée. Mon intérieur était confortable et je m’y trouvais bien.   Seule, j’étais d’accord avec moi-même, à l’abri du vent, de la pluie, des voyous, et je serais restée dans ma tour enfermée ! Mais à ma forteresse tu as trouvé une faille, tu m’as forcée à entrouvrir la porte.   Comme une rafale de pluie en pleine face le cri des Hommes m’a réveillée. Comme un vent de bourrasque, une amitié m’a ébranlée.