S’imposer une vie c’est pas une vie !
“Le traumatisé croyait avoir trouvé l’échappatoire en créant « son » entreprise. Mais l’avortement social va réactiver les réminiscences traumatiques. Plutôt que le suicide, impensable dans sa culture, le patient-victime perpétuelle attend poliment la mort en épousant le statut durable de malade.”
Georges Yoram Federmann
Psychiatre gymnopédiste
Cet article, paru dans la revue “Pratiques – Cahiers de la médecine utopique”, décrit les traces profondes laissées par une expérience traumatisante liée aux persécutions et à l’exil.
Lisez la suite ICI
